Faire en sorte que chacun puisse être acteur de sa propre vie et citoyen d’un monde diversifié et coopératif, paraît un enjeu acceptable par presque tout le monde.
Cet enjeu est d’autant plus important que la toute puissance de l’occident est menacée ainsi que sans doute l’avenir de l’humanité
de l’espèce humaine est en jeu.
Pour faire face aux défis, nous avons besoin d’un dispositif qui soit centré sur la responsabilisation la plus grande possible de chacun et sur le développement, dès le plus jeune âge, d’une attitude coopérative.
Pour être responsable, il est indispensable de disposer d’une estime de soi suffisante et d’une capacité de distanciation. Pour que la coopération s’épanouisse, il est indispensable de laisser un espace au possible et à l’inconnu.
Aider à acquérir confiance et lucidité, se confronter au risque et à l’incertitude devraient être les piliers sur lesquels repose une éducation facilitant le penser, le discernement et le goût de réaliser.
Il ne s’agit aucunement de sombrer dans un angélisme où la compétition et le mépris du prochain auraient disparu. Il s’agit de disposer d’une structure où l’horizon indépassable de l’être humain n’est pas l’élimination de l’autre.
Faire en sorte que chacun puisse être acteur de sa propre vie et citoyen d’un monde diversifié et coopératif, paraît un enjeu acceptable par presque tout le monde.
Cet enjeu est d’autant plus important que la toute puissance de l’occident est menacée ainsi que sans doute l’avenir de l’humanité
de l’espèce humaine est en jeu.
Pour faire face aux défis, nous avons besoin d’un dispositif qui soit centré sur la responsabilisation la plus grande possible de chacun et sur le développement, dès le plus jeune âge, d’une attitude coopérative.
Pour être responsable, il est indispensable de disposer d’une estime de soi suffisante et d’une capacité de distanciation. Pour que la coopération s’épanouisse, il est indispensable de laisser un espace au possible et à l’inconnu.
Aider à acquérir confiance et lucidité, se confronter au risque et à l’incertitude devraient être les piliers sur lesquels repose une éducation facilitant le penser, le discernement et le goût de réaliser.
Il ne s’agit aucunement de sombrer dans un angélisme où la compétition et le mépris du prochain auraient disparu. Il s’agit de disposer d’une structure où l’horizon indépassable de l’être humain n’est pas l’élimination de l’autre.